Aujourd’hui, nous allons écouter Isabelle Giraldo qui fait partie de l’association Emergences fondée par Ilios Kotsou et Caroline Lesire.
Le projet d’Emergences est d’aider les personnes, et notamment les enfants et les enseignants, à intégrer la pleine conscience au quotidien.
Isabelle offre par ailleurs ses services (formations, retraites, cercles) que tu trouveras sur son site internet isabellegiraldo.org

J’ai contacté Isabelle car j’ai découvert qu’elle animait une retraite de pleine conscience pour les enseignants et j’ai adoré cette idée! Son site internet, frais et reposant, ainsi que l’ancrage dans la nature et dans les idées et les principes de l’écospsychologie (dont je me réclame également) ont confirmé mon envie de l’entendre et de lui donner la parole pour que d’autres puissent inspirées par elle.
La pleine conscience est une posture d’accueil qui permet d’atteindre un niveau de conscience plus élevé. Et donc de choisir en toute liberté ses actions dans un environnement qui peut parfois nous ballotter à gauche et à droite.
J’ai découvert la pleine conscience il y a peu et lu un livre extrêmement intéressant sur le sujet de Patricia Jennings, « L’école en pleine conscience ». C’est une posture que j’intègre dans mes accompagnements; plus personnellement, elle m’a beaucoup aidée pendant les 1ères semaines de la crise sanitaire.
C’est également une posture qui permet un meilleur accès à son intuition, cette partie de nous-même en lien avec notre corps et notre inconscient et qui peut nous aider à prendre les bonnes décisions.
Avec Isabelle nous avons évoqué son parcours atypique(elle a été enseignante d’arts plastiques avant d’enseigner la pleine conscience) et de ce qui la pousse à travailler avec les écoles et les acteurs et actrices de l’éducation.
Nous avons également évoqué les émotions, tant celles qui nous sont agréables que celles qui sont désagréables…et parlé de l’importance d’accepter les deux.
J’espère qu’elle t’inspirera comme elle m’a inspirée! Bonne écoute (ICI)
Amandine
« Ce n’est pas une baguette magique. (…) On recherche la prise de conscience. », Isabelle